Agissons ensemble contre la faim en RDC !
13 millions de personnes vivent dans une insécurité alimentaire extrême en République démocratique du Congo.
AGISSONS MAINTENANT !

Programme Agricole de Lutte Contre la Faim dans les Milieux d'Exploitation minière Artisanale du Lualaba.
HEAR Congo est une organisation non
gouvernementale des droits humains basée
aux États-Unis depuis 2010, qui met la femme au centre de toute action de développement comme
bénéficiaire et actrice.
La
Vision de HEAR Congo est de réaliser un
modèle de soutien socioéconomique,
viable à long terme et de paix durable pour le peuple Congolais à travers l’autonomisation
des jeunes femmes et de l’enfant impactes
par nos programmes.
Pour permettre au centre d’être autonome, une
stratégie d’autofinancement
et de durabilité sera développée. Cette stratégie peut varier en fonction de plusieurs facteurs
socioéconomiques de la province du Lualaba, ce qui nécessitera des évaluations
régulières du milieu avec des adaptations appropriées.
A cet effet, notre Mission
est de donner aux jeunes femmes Congolaises et des enfants, impactés par nos
programmes, dans la province du Lualaba, les moyens d’apporter un bienêtre social,
émotionnel, physique et économique
; un changement positif et durable pour elles et leurs communautés.
En effet, la République Démocratique du Congo
(RDC), vie dans l’extrême pauvreté
accentuée par le quasi absence d’opportunités économiques alternatives dans les zones minières.
L’activité minière qui est la principale source de revenu des ménages est très
faiblement rémunérée et s’effectue dans
les conditions indécentes au détriment des autres domaines de développement sous exploites.
(Agriculture, Artisanat, Commerce,
transformation
des produits agropastoral etc )
Ce phénomène ayant des conséquences néfastes
sur le développement socioéconomique
des membres de la communauté dans la province du Lualaba, HEAR Congo a intégré un programme de productivité
agricole et de
lutte contre la faim dans les milieux d’exploitation minière artisanale du Lualaba.
Le secteur agricole Lualabais est confronté à
des nombreuses contraintes d’ordre
technique, économique et institutionnel, qui entravent son développement depuis plus d’une
décennie. Le secteur possède néanmoins un potentiel considérable et offre des
opportunités tout à fait remarquables, notamment:
-
Des conditions climatiques et écologiques très favorables aux activités
agricoles
;
-
Une grande disponibilité en terres agricoles
avec environ 3 000 000
d’hectares;
-
Un marché et demande potentiel de plus de 10
millions d’habitants
-
Un mouvement associatif en émergence et en expansion dans l’ensemble
du
pays; et
Cependant,
la situation nutritionnelle est critique. Le retard de croissance ou malnutrition chronique, touche 40%
d’enfants de moins de cinq ans. L’insuffisance
pondérale quant à elle, touche un enfant sur quatre, soit 24%.
En terme de chiffre absolu, ces prévalences se
traduisent par plus d’un million
d’enfants affectés par la malnutrition aigüe qu’il faut prendre en charge et par plus d’un million
d’enfants du Lualaba souffrant d’un retard de croissance.
Les grands défis à relever à l’horizon
consistent à ‘’Vaincre la malnutrition et l’insécurité alimentaire et réduire
significativement le niveau de pauvreté de la population rurale’’.
Le
site est situé dans le village Tshilongo, cité de Tenke une étendue de 200
hectares
(70 % sols ferme et 30% ha de sols marécage) à 70 Km de la ville de
Kolwezi
Les composantes sont : grandes cultures;
maraichage et arboriculture fruitière
sur le sol lourd; aviculture et embouche cochons. Les grandes cultures s’effectueront sur 150
hectares. Cette composante concernera
le maïs, le sorgo et l’arachide.
Le
maraichage se fera sur le sol arrosé à une superficie de 30 hectares avec les spéculations telles que la pomme
de terre, l’ognon, l’aubergine, le gombo, le chou, la tomate et l’arachide de contre
saison. Le nombre de cycle par année
est arrêté à 3.
L’arboriculture fruitière sera implantée sur
un verger de 20 hectares composés
des espèces suivantes: agrumes (citronnier, orangers, mandariniers), manguiers et bananiers.
L’aviculture
aura les spécifications suivantes: bande de 2 000 sujets (poulets de chair), nombre de rotations par an:
3.
L’activité d’embouche, avec un effectif de
départ de 80 sujets, connaitra une évolution
annuelle de 160 % jusqu’en cinquième année Les travaux de nivèlement et la clôture du
terrain;
-
les bâtiments d’exploitation (poulaillers, porcheries
d’embouche,
pièces d’habitation, magasins de stockage);
-
les équipements agricoles (forage, moulin, houe, petit équipement
Agricoles,
etc.);

Francoise MIZERERO
Ensemble , nous pouvons aide la RDC. En luttant contre la faim. Vos aides et assistances svp:






Francoise Mizerero
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